Peace Soldiers L2
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 OlaF

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3a3ux
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MessageSujet: OlaF   OlaF EmptyMer 25 Mai à 22:13

chapitre 0 : naissance d'une quête :


Je suis né en l'an de grâce 47 de l'ère Soünne.

Le seigneur Soünne alors au pouvoir, envoyait les nains à la guerre contre les elfs.Chaque bataille était un massacre, pour que je puisse avoir une chance de ne pas verser mon sang dès le premier affrontement, mon père Guatar, guerrier sacré et chef des patrouilleurs de la mort m'enmenna dès ma naissance chez son maître et ami Xub, pour que j'y passe les 20 premières années de ma vie.

Xub devint alors mon maître et me forma jusqu'a ce que je puisse à mon tour faire la guerre sans prendre trop de risque. Le maître était le nain le plus vieux du monde, il avait presque vu l'avenement de la vie sur la terre que nous connaissons. Les rumeurs disent même qu'il serait devenu un sage si puissant qu'il métriserait le chaos, l'essence même de la vie.


Après 20 longues années passée au coté du maître celui-ci m'offerit une vielle dague et de vieux vêtements.Puis me demmanda de partir sur la route de la guerre car désormais il n'avait plus rien a m'apprendre hormis la sagesse, mais il s'avait que je n'étais pas encore prèt à prendre concience du monde impalpable qui nous entoure. Je suis donc partit à la guerre pour détruire de l'elf, avec la rage et la fougue d'un jeune loup.

Mais je ne savais alors pas à l'époque que la première victime de la guerre c'était l'innocence... Dans les mines où nous nous cachions des elfs durant la nuit, j'ai rencontré un homme qui se battait à nos cotés. Il s'appelait Valus Morguli, nous avons ensemble mené des batailles sans la moindre égratinures, jusqu'au jour ou il s'est fait prendre dans un essaim d'elfs. je l'ai vu lutter de toutes ses forces, pour finalement le voir tomber lourdement au sol avec les yeux toujours fixé dans les miens avec l'epression de vengeance. Ma réaction fut immédiate, me défesant de mes 3 ennemis je fondit sur cette attroupement déchirant la chair et l'air avec de puissant coups rapide porté avec fureur ! La vengeance m'aveglait. Au moment ou je reprit conscience de mes actes je me rendit compte que j'étais le dernier debout, enfin le dernier nain debout...

Les larmes coulaient à flot sur mon visage taché de sang, mais je ne voulais pas quitter cette clairière sans avoir exterminer tout les elfs qui s'y trouvaient. La folie meurtrière fit de moi un de ses pantins me poussant à tuer, jusqu'a ce que ma lame se bloque contre une autre. J'avais en face de moi le dernier elf de la zone non boisé ;celui-ci semblait différent, confiant, il me regardait d'un air arrogant. N'étant plus maître de mes actes je me lanca sur lui pour lui porter mon coup le plus meurtrier, mais je fut stopper net par sa lame qui passa devant mon visage, laissant une marque indélébile sur ma peau, sur le haut de mon nez juste en dessous de mes yeux.

L'elf me parla en c'est termes : "Jeune nain, je ne pense pas que tu réalise encore ce qu'il vient de t'arriver, mais ma lame viens de te trancher la peau, sans que tu ne l'ai vu passé. Tu sembles être très puissant déjà pour ton âge, mais es-tu sage ? Si tu parvient a répondre a mon énigme, je laisserai se combat avoir lieu sinon, je te demanderai de partir sur le champs et de ne jamais revenir en Havrebrume.

-Pose ta question, que je te tranche comme tes comparses !

-Soit :Un métal ni noir, ni rouge. Aussi lourd que l'avidé des hommes et des nains pour l'or. On en lâche pour rester devant, avec un ami, une flèche ou une monture. Quel est-il ?

-(après mûre reflection) Le fer...

-Et bien non, tu as la vie sauve, mais si tu souhaites vraiment me tuer, retrouve moi avec la réponse je m'appel : Edras Oril."

Depuis ce jour je parcoure les mines et les terres de tout les continents de la planète en quête de sagesse, pour un jour pouvoir venger la mort de mon frère d'arme.


Dernière édition par le Sam 16 Juil à 7:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: OlaF   OlaF EmptyLun 30 Mai à 1:00

chapitre 1 : la quête du mont cendrée :

C'était à l'aube de l'an 26 de mon éxil, que j'arriva enfin à la vallée des monts, royaume de Hodilaf Lptu Dif Fürereur, un Orc aussi idiot qu"un braillard des falaises au premier jour de sa vie...

Mais c'était surtout le point le plus important de ma quète de sagesse et de puissance. Car à l'interieur d'un des somments se cachait un maître de la hache, qu'il me fallait rencontrer pour apprendre à mainier la hache avec volupté et netté. J'avais également besoin d'une arme que je trouverais certainement chez ces statanés orcs qui recupèraient tout ce qui traînaient sur un champs de bataille.

Je me rendit donc directement chez l'armurier le plus proche pour acheter une arme. Mais encore une fois la chance était avec moi, je me rendit compte que tout les prix étaient en monnaie d'orque, c'est à dire en os. n'ayant sur moi que des pierres precieuses, monnaie nain et des poussières de luciole, monnaie elfique, je me voyais mal acheter des armes chez ces pourritures d'orcs. Mon desarois fut complet lorsque je me rendit compte qu'aucun orcs n'accepteraient de faire du change avec moi.

Mais encore une fois ATANNA m'envoya un allié qui put m'aider à sortir de mon embarra. C'est ainsi, alors que je me soulais, avec mon reste d'ambroisie elfique, au coin d'une rue que je rencontra Sheogorath un orc mystic fort aimable. Il accepta de m'échanger ma monnaie nain contre des os orc. Je pu enfin m'achetté ma première hache à une main.

Mais mon nouveau compagnon avait besoin de moi pour une bataille futur, il voulait que je lui fabrique de la poudre noir dont seul nous les nains avons le secret. Et je vu ici l'oportunité de tester mes nouvelles compétences et de me familiariser avec ma hache. Je fut donc de la bataille qui opposait des orcs à des orcs, ils étaient si idiots que certains du même camps se tuaient.
La bataille fut un carnage, mais je sortit en une seule pièce de se bourbier. Ma hache avait bien servit et mes nouvelles compétences me permettaient de frapper plus fort et plus vite. Puis j'ai affronté le mont Blacklight où se terrait le maitre de la hache.
Après trois cycles(jour+nuit=1cycle) je rencontra enfin le maître, celui-ci m'instruit et m'ouvrie un peu plus à la sagesse.
La descente fut naturellement plus rapide que la monter du mont Blacklight. Sheogorath m'attendait en bas pour m'annoncer une terrible nouvelle : durant mon apprentissage, les orcs que nous avions combatu étaient revenu avec une autre armée composée cette fois d'orcs et de gobelins. Ils avaient donc ainsi prit la première partie de la ville sans que le clan Σn-OKэ n'ai le tenps de réagir, les obligant donc à fuir dans la seconde partie de la ville. Mon nouveau compagnon me demanda de venir avec lui et son groupe d'expedition pour faire une incursion dans les lignes ennemies.

Sheogorath, Acssi, Jasse, Sijac et moi avons fait route en direction de la frontière, tuant les gardes avec rapidité et discretion sans déclencher l'alerte. Mais le plus improbable arriva, Jasse, partit devant pour faire l'appat, mourru sous les lourdes flèches des gobelins embusqué dans une ruelle. Sijac, peu de temps après, mourru à son tour d'un coup de hache dans le dos, l'ennemi était si rapide que l'on ne pouvait que sentir le déplacement d'air que provoquaient ses mouvements. Acssi, le dernier des trois orc figther du commando, mit au point une stratégie pour nous permettre de voir l'ennemi, il fit trembler les murs de la ruelle ou nous etions de facon à faire tomber de la poussière qui recouvrirait l'assaillant pour que Sheogorath et moi puissions l'abattre.

La statégie fonctionna, sauf que Acssi y laissa sa vie. Nous fûmes alors prit dans un flot continu de flèches, Sheogorath dû avoir recours à la magie pour nous sortir de notre peu comfortable situation, invoquant la puissance de la terre, il fit remuer celle-ci, faisant ainsi tomber nos ennemis au sol, me permettant de leur assigner un coup fatal. Mais alors que nous n'avions fait que quelques pas, nous retombâmes dans une embuscade, je réussi inextremiste à sauvé mon ami de la mort, mais malgré tous mes efforts, il était gravement blessé. Je combatit donc seul face aux orcs et aux gobelins qui nous harcellaient sans cesse, mais alors que je n'y prenait pas garde, mon compagnon d'infortune marmonait une incantation, puis me lanca un parchemin en me criant adieu...

Il sagissait d'un scroll of escape. L'instant d'après je me retrouvais dans un château délabré, dans une contrée que je ne connaissais pas. je n'eu plus alors que mes yeux pour pleurer mon allié, qui devait sans doute être mort sous les coups de nos ennemis.

Je n'oublierai jamais le visage de cette orc mystic avec ces magnifiques cornes rougâtres... Que ILDRIA veuille sur ton âme mon ami, un jour nous nous reverrons, mais pas encore, pas encore.
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MessageSujet: Re: OlaF   OlaF EmptyMar 7 Juin à 13:57

chapitre 2 : l'oracle de mon coeur :

C'était en l'an 53 de mon exil, alors que je courrais parmi les hautes herbes avec le soleil qui innodait mon visage de sa lumière, tentant ainsi de semer mes poursuivants à travers la lande. Cela faisait deux cycles qu'ils étaient à mes trousses.

C'est alors que je bondit par dessus un taillit, tombant nez à nez avec un troll de terre, celui-ci d'abort surpris de voir "son repas" bondir dans son repère, reprit vite ses esprits. Mais je réussit à calmer ses hardeurs en lui porposant un marché : je lui sert mes poursuivants sur un plateau, en échange je recupère ce qu'ils ont sur eux et il me laisse la vie sauve. Le troll accepta sans hésiter lorsque je lui dit que mes poursuivants étaient des elfs. Me défesant ainsi de mes ennemis, je repris la route vers la contrée de Unloch, un des rares plateaux des highlands où demeuraient encore les humains, sur cette iles elfiques qui est Pandragoren. Evitant les sentiers trop fréquenté par les elfs, je coupais à travers la forêt. Alors que je marchais dans celle-ci, d'un pas discret pour éviter de me faire repérer, j'entendit un son aïgue, fort lointain, se rapprocher à vive allure. L'instant d'après j'embrassais la terre humide, des pluies de la veille, avec quatre flèches planté en mon dos. Je n'eu le temps que d'apercevoir les bottes de mes aggresseur avant de perdre connaissance.

Un long moment plus tard, je me reveillas avec autour de moi un nouveau décor, et un affreux mal de tête. Je sentis alors les anneaux métalique qui relié à des chaînes, le tout solidement attaché au mur, m'empéchant ainsi de bouger. Devant moi je vis la forme d'une porte en métal avec des barreaux pour fenêtre. Je compris très vite que je n'étais pas mort mais presque, car on m'avait retiré ma liberté : j'étais en prison. Je ne serais dire après combien de cris, mais quelq'un se décida enfin à ouvrir la porte de la cellule. A mon grand étonnement, j'avais en face de moi un dark elf. Il m'enleva les chaînes et me fit signe de le suivre. Le garde m'amena devant un mage qui m'expliqua que ses guerriers m'avaient tiré dessus par erreur, car ils visaient les elfs qui étaient embusqués juste à quelques sotus (1sotu=1mètre) de moi. Il s'excusa pour les quelques dommages physiques que cela m'avaient couté et il m'invita à rester un moment sur ses terres, le temps de guerrir totalement mes blessures. J'accepta son offre avec joie. Les cycles passaient lentement et je coulait des jours heureux en compagnie de mes hôtes.

Parmi se peuple composée essentiellement de guerriers, il y avait des femmes, toutes aussi belles les unes que les autres, notamment une qui me plaisais beaucoup. Par un heureux hasard il se trouvait que c'était celle qui soignait mes blessures. AzuRia était différente des autres dark elfes : plus souriante, plus joyeuse, plus belle, pleine de vie... Je la désirais, j'avais besoin d'elle : je l'aimais. Les cycles passaient, augmentant mon désir, chaques instants passé avec elle étaient pour moi comme un rayon de soleil bienfaiteur qui illuminait mes journées. je décidais de lui avouer mon amour, que je pensais à sens unique.

"Dame AzuRia, avant que vous ne partiez, j'ai quelque chose à vous dire...

-Oui, sir OlaF, qui y a t'il ?

-Je voudrais, euh...je voudrais vous dire que...je...enfin je...je vous aime, d'un amour sans limite...

-Mais, sir...je croyais que...enfin je pensais...

-Je comprend votre refus, n'ailler craînte, je ne vous le dirais plus.

-Mais non, vous ne comprenez pas. Je vous aime également, et ce depuis le premier jour."

Mon bonheur et ma joie furent tel que je ne puit dire mot. Je l'embrassa fougueusement pour sceller notre union. Le même cycles alors que la pleine lune venait de se lever, et que l'ombre avait prit le dessus sur la lumière, nous nous sommes retrouvés sur l'herbe du petit jardin qui surplonbait le camps des dark elfs. Ces dans les draps de soie blanc, que j'avais étendu sur le sol, que je l'ai possédé pour la première fois. Chaques cycles étaient rythmé par nos ébats.

Après plusieurs lunes passées ensemble, nous décidâmes de nous marrier. Le mage supèrieur accepta et scella notre union selon les coutûmes des dark elfs et des nains. Nous vivions ensemble depuis 1 an déjà, sans avoir rencontré un seul soucis. Les autres dark elfs acceptaient notre union, tout allaient bien. Puis un soir alors que nous venions de faire l'amour, elle m'annonca que bientôt elle devrait partir pour suivre un enseignement spécial visant à faire d'elle une shillen oracle. Je prit la nouvelle du mieux possible en la congratulant, mais j'étais inquiet de la savoir loin de moi. La question de notre union fut soulevé, elle ne savait pas pour combien de temps elle en aurait, ni où elle irait.

C'est pourquoi nous avons fait un pacte : dès que l'un de nous aura réussi dans sa quète, il le fera savoir à l'autre en envoyant son alliance par le biais du mage supérieur. J'accepta son idée. Le lendemain elle prit la route, vers le nord, alors que moi je partais pour l'est de facon à reprendre la route de Unloch. Après un dernier baiser, elle chuchota à mon oreille que jamais elle ne m'oublirai et qu'elle me fera parvenir son alliance comme convenu dès qu'elle sera shillen oracle.

Dans un dernier regard je la vois s'éloigner, puis elle disparu derrière les arbres de la forêt. Je reprenait la route avec le coeur lourd sentant que nous ne nous reverions pas avant longtemps. Mais je l'aime plus que tout, et rien ne fera changer cela. Et tant que j'aurai cette alliance avec moi, rien ne pourra me la faire oublier car notre amour est éternel.

Encore aujourd'hui je revois son visage dans mes songes...
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MessageSujet: Re: OlaF   OlaF EmptySam 16 Juil à 7:40

chapitre 3 : l'autre vérité :


[...]8 saisons, 63 cycles et un levée de soleil... Cela fait trop longtemps déjà que je n'ai plus croisée ton regard, ma belle, ma douce AzuRia. Je suis las de parcourir les royaumes, les mers et les monts de cette maudite planète !

Mais enfin mon règne s'achève, je sent lentement la vie me quitter, je vois mon sang glisser sur l'herbe verte, tout comme les larmes sur ton visage lorsque nous nous sommes quittés. Je ne vais pas tarder à rejoindre le paradis des nains ou l'enfer de ceux-ci... De toute facon cela n'a plus d'importance le voile devant mes yeux c'est déjà levé, le rideau est tombé tout comme moi, sous les lourdes fléches des gobelins et sous les puissants coups des trolls.

Le livre de ma vie commence a se fermer, je me sens partir dans mon nouveau monde, je sent que la vie me quitte, je rend mon dernier soupir en prononcant ton nom :
"AzuRiaaa"...

Puis dans un éclair éblouissant, je vois ma vie défiler devant mes yeux, c'est la fin, je me meurre.
Me voici entre l'enfer et le paradis, il ne me reste que le styks à traverser, je vois déjà le passeur qui s'approche de moi. Mais alors que j'allais monter sur le radeau, une main m'attrape le bras et m'enpèche de monter, je me retourne et à mon grand étonnement, c'est maître Xub qui me retient.

"Maître, vous aussi vous êtes mort...

-Triple idiot que tu es, crois tu vraiment que quelqu'un puisse m'abattre !

-Euh.. non maître, vous avez raison, comme toujours. Mais alors que faites vous ici ?

-Je suis venu à ta rencontre mon jeune ami, pour parfaire ta formation et lui donner ainsi le point final.

-Je...Je ne comprend pas, comment pouvez-vous être ici et dans le monde des vivants à la fois ?

-J'ai depuis bien longtemps dépassé le stade du corps, mon esprit est éternel, je ne peu mourrir, de surcoût je bénéficie de mon entrée dans le monde des morts comme bon me semble. Mais là n'est pas ta leçon. Ecoute bien mes paroles :
"Le chemin qui mène à la connaissance est semée d'embuches, mais qu'elle est la pire qui puisse t'arriver ?"

-La pire embuche, c'est je pense de perdre un compagon durant une aventure.

-Excellente réponse, jeune ami. Désormais tu es prèt pour passer l'ultime teste... Tu vas devoir affronter le néant dans toute sa splendeur !

-Maître, vous me semblé bizarre l'espace d'un instant, votre voix a changé, vos yeux sont plus sombre, vous n'êtes plus le même qu'avant...

-Très juste OlaF fils de Guatar, je suis le NEANT absolue, jonglant sur les fils de la vie avec en mes mains les ciseaux d'or pouvant ainsi mettre fin à tout moment à ta vie de nain !

-Alors c'est vous mon épreuve final !

-Oui, mais pas exactement, car ton épreuve final se divise en 4 étapes :
1-la puissance
2-la force
3-la résistance
4-la mort

-Soit que l'épreuve commence, je suis prèt ! ! !"

Et sur mon ordre, non réfléchie, je fut plongé dans une tempète de vent opaque, m'empechant de voir à plus de 2 sotus.
La voix de maître Xub résonnais devant les portes des enfers :

"Ta mission est simple, jeune nain, trouver la voie de la puissance spirituel."

Je savais qu'il ne restait plus qu'une seule solution pour me sortir de là, me mettre en méditation guerrière. Je rangea ma hache, mit mon bouclier sur le dos et me mit ensuite en position de méditation, laissant le vent sombre glissé sur moi sans que je n'ai à m'en soucier. Après plusieurs instants je ne sentais plus le vent sur ma peau, je ressentais juste les faibles vibrations de vie autour de moi... Mes yeux s'ouvrient alors et la tempète avait disparu.
Encore une fois sa voix resonna dans ma tête :

"Désormais tu dois trouver ta force naturelle !"

Soudain apparu devant moi le pire ennemis qu'il puisse être donné à un nain : un autre nain identique. Le même équipement, les mêmes pouvoirs, les mêmes armes, mais pas le même regard. Je suis resté fixer ses yeux pendant un bon moment, avant de passer à l'attaque. Mais chaques coups que je portais se voyait renvoyé avec un simple contre sans efforts. Ma stupeur fut total lorsqu'il placa un "stun" dans mon épaule alors que je venais de le parer. La douleur était horrible, le sang giclait à gros bouillon. Je commencais à légèrement perdre connaissance, pour finir mes forces me quittairent. Je décida d'employé la méthode de l'esprit et du corps. C'est une technique ancestrale utilisé par les patrouilleurs de la mort. Il s'agit en fait de faire fusionner son corps avec son esprit animal pour obtenir une symbiose parfaite et décupler ainsi son pouvoir. Je mit très peu de temps à me défaire de mon ennemis pour pouvoir m'écarter et enfin utiliser cette ultime technique... Mais malheuresement celui-ci m'empécha de finir mon incantation. Je venais de comprendre un élément essentiel de la force : la vitesse ! C'était si simple que je n'y avais même pas penser au premier abort. Mais il est vrai que c'est uniquement grace à sa vitesse que mon double me touchait. Je crut avoir trouver là la meilleur parade contre ce démon. Mais il s'avera que non, plus j'augmentais ma vitesse plus il décuplait la sienne. C'était un combat à sens unique, il frappait/je parait. Puis
j'entendis les sarcasmes de mon maître dans ma tête :

"Abandonne toi au néant et prend place à mes cotés, tu pourra vaincre ton ennemis ainsi..."

Mais je ne pouvais me résoudre à céder. Je continua le combat jusqu'a ce que toutes mes forces m'abandonnent. Mais au moment de m'achever, mon ennemis stoppa ses coups et disparu dans l'obscurité. Et denouveau le maître interrompa mes pensées :

"Bien joué, je ne pensais pas que tu comprendrais que la force naturel réside aussi bien dans la victore que dans la défaite."

Mon soulagement fut complet j'avais une nouvelle fois triomphé, mais il me restais encore 2 épreuves : la résistance et la mort... Ses mots furent comme tous les autres sur un ton ferme et démoniaque :

"Et si nous testions ta résistance !"

Un déluge de flammes s'abattit sur moi, mon bouclier me protegea, puis une pluie de glace me fit tituber puis tribucher au sol. Mon bouclier cassa dûe sans doute au choc thermique. La glace cessa, et se fut au tour de la terre de se déchainer, des 100aines de gros morceaux de roche foncaient sur moi à toute allure. Je ne pu tous les éviter, je ne comprenais plus rien, j'étais balancé de roche en roche au rythme des hérrauts de mon maître. Puis tout cela cessa et enfin le calme revint. Une légère brize balayait le sol devant les portes noirs. Puis le vent devint de plus en plus chaud, puis brulant... je reconnu le vent chaud du désert. Je savais que je ne pourrais pas resister longtemps sans mon bouclier face à cette élement à la puissance démesuré. Mais je tenais toujours sur mes jambes lorsque qu'il se tut.
Le maître escissa un rictus en me parlant :

"Alors tu vois que ton corps est la plus solide des armures. Mais on ne se relache pas maintenant l'épreuve final ! LA MORT ! ! !"

Son regard changea encore une fois, il devint plus dur. Je n'eu le temps que de sentir l'air se déplacer, pour éviter son coup de baton. Ma surprise fut si grande de voir mon maître, d'un âge fort avancé, se battre avec la fougue et la vitesse d'un jeune guerrier. Je savais que je ne triompherai pas de ce duel. Mais je combatit quand même sans peur de mourrir. Le combat devient de plus en plus dur, je commence à perde l'équilibre, j'ai déjà perdu trop de sang, j'ai du mal à corectement coordonnée mes mouvements. Et dans un élant de dernière espoir je me jete sur lui esperant le faire tomber avec moi pour lui assigner un coup fatal. Mais mon plan échoue, alors que je l'enserrai fermement, d'un coup de baton il me brisa la jambe gauche juste en dessous de mon genou. La douleur fut si puissante qu'elle m'arracha un râle de souffrance qui me déchira la gorge. En un éclair alors que je venait juste de tomber il se trouvait à mes cotés son couteau sortit de nul part sous ma gorge prèt à me faire rendre mon dernier soupir. Mais au lieu de me tranché la gorge et de savourer sa victoire, il me parla :

"Sais-tu ce qu'il arrive si tu meurt en enfer ?

-Non, absolument pas.

-Ton âme est détruite et ton esprit est brissé, tu ne retrouveras jamais plus de corps et tu passera le reste de l'éternitée à herrer dans les limbes.

-Qu'il en soit ainsi, je reconnais ma défaite et je me suis fait à l'idée que j'allais mourrir.

-Alors le combat est fini, tout comme le teste. Tu as prouvé que tu étais un digne fils des nains supérieurs, tout comme ton père avant toi. désormais tu porteras sur ton coeur la marque indélibile du peuple des nains. Se symbole t'empéchera de passé de vie à trépas et te permettera de passé du monde des morts à celui des vivants sans te soucié des concéquences. Tu es désormais un immortel.

-Merci maître." Les larmes coulaient sur mon visage, mon bonheur était complet, je n'avais désormais plus à me soucier de la mort.

Je reprit la route du monde des vivants. Je quitta le champs de bataille où j'avais trouvé la mort. Je repartie en quête de sagesse vers d'autres contrées cette fois-ci plus au sud, vers la terres des hommes.
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MessageSujet: Re: OlaF   OlaF EmptyLun 16 Jan à 7:56

Chapitre 4 : La confrérie de la Lune d’Argent

Après 9 cycles de voyage, je vois enfin du pont du bateau, les cotes de la terre des Hommes. Cette terre de légende où résident les plus puissants mages, parmis ceux-ci je dois en rencontrer un : le sel nain mage, Hogden Alfarc’h , le chef de la confrérie de la Lune d’Argent. Après plusieurs questions posées au diverses marins et marchands sur les docks du port de Mardiregen, personne n’est en mesure de me répondre. Comme si tout le monde évitait le sujet, conne si celui-ci était tabou…
Puis j’interpelle un jeune guerrier qui tente de dissimuler ses deux sabres et son visage derrière sa cape et sa capuche.

« Dîtes moi mon brave, auriez-vous un instant pour répondre à une simple question ?

-Bien sur, maître nain, donnez m’en la teneur.

-Savez-vous où je pourrais trouver la confrérie de la Lune d’Argent ?

-Et bien voyez-vous maître nain, je suis… »

Mais il fut interrompu par une voix puissante qui tonna, comme un coup de marteau sur une enclume de forge.

« Arassane !! Il est temps de finir notre duel !!

-Soit, puisque tu insistes ! Moi Arassane Naonek, gladiateur sacré, homme du nord et chevalier de l’ordres des glaces ; je relève ton défis.

-Moi Varguas Morgulie, gladiateur sacré, homme du sud et chevalier des flammes ; Je serai celui qui mettra fin à ta vie ! »
Morgulie, Morgulie…ce nom résonnait dans ma tête, j’avais dans mon dos, le frère de celui que j’avais juré de venger. Je décidai donc de lui en parler :

« Sir Varguas, j’ai quelque chose à vous apprendre au sujet de Sir Valus, votre frère.

-Reculez maître nain, cette histoire au sujet de mon frère peut attendre. Pourriez-vous s’il vous plait donner le départ de se duel…

-Certes… »

Je fis tomber le pommeau de ma hache sur le sol de granite des docks, pour symboliser le lancement du duel. Les trois lames s’entrechoquèrent, bizarrement Varguas n’utilisait que l’un de ses sabres, peut-être avait-il une stratégie plus élaborée que son adversaire. Je ne pouvais pas suivre tous les mouvements des deux duellistes, mais leurs vitesses étaient tellement supérieures à la mienne que je parvenais tout juste à percevoir les fluctuations d’air et les bruits sourds des pas et des fracas des lames. Leurs puissances me soudaient littéralement au sol, j’étais tétanisé à la fois de fascination et de peur, par le spectacle que m’offrais ces deux guerriers. Alors que je plongeais dans une méditation guerrière pour percevoir le combat dans tous ces détails, un râle de douleur me sortit de ma torpeur, il s’agissait de Arassane qui saignait à gros bouillon d’une profonde blessure infligé par Varguas au niveau de son épaule droite.

« On dirait bien que j’ai l’avantage cette fois Arassane.

-Que tu crois jeune fou ! Tempête de Neige !!!
A ces mots, un mur de neige blanche entoura l’homme du nord, le protégeant des attaques de Varguas.
Mais celui-ci dégaina son deuxième sabre et se lança dans les airs tout en fondant sur son adversaire en criant :

-Déluge de Flammes !! »

Il s’agissait en réalité pour Arassane, de grands mouvements de sabres à une vitesse phénoménale. Quand à Varguas il s’agissait de coups puissants portée à la vitesse de l’éclair. Mais même en sachant cela, se combat n’en restait pas moins impressionnant.
Mais c’est en plein cœur du duel, que je sentit sur ma peau la caresse du vent, avant de me la tête contre le sol avec mes pieds dans mon champs de vision, sans vraiment comprendre se qu’il venait de se produire. Mais une voix à la fois douce et chargé de colère me sortit de mes songes.

« Sir Varguas, et Sir Arassane…MA dernière sanction ne vous à pas suffit !

-Veuillez me pardonner, ô puissante gardienne Thaèos, je ne ferais plus cette impardonnable erreur.

-Seigneur Varguas, il me semble pourtant que c’est la sixième fois cette lune ci. Mes terres sont neutres et je n’y tolère aucuns combats de quelques natures qu’ils soient ! Et ne croyez pas vous en sortir Sir Arassane, car cela vaut aussi pour vous ! »

Plus la gardienne parlait, et plus le ciel s’assombrissait, et plus elle haussait le ton et plus il se chargeait d’éclair. On aurait dit qu’elle le contrôlait.

« Rengainez vos sabres et regagnez vos terres respectives avant que je ne laisse le ciel vous infligez ma colère !

-Il sera fait selon votre bon vouloir, gardienne Thaèos.

-Quand à vous maître nain, qu’elle vents vous amène sur mes terres ?

-Et bien voyez-vous gardienne, je me prénomme OlaF, fils de Guatar et je…

-Le fils de Guatar… Nous continuerons cette discussion dans mon palais, je vous y attendrais.

-Soit, mais comment m’y rendre ?

- Prenez ce papillon, il vous y conduira.

-Merci gardienne, je m’y rend de se pas. »

Puis elle disparu… Je chevauchai le papillon en espérant que la bête soit docile. Celle-ci, sans que je ne puisse mots dire, prit la route de la colline m’amenant directement au palais. Arrivé sur place je me fit interpellé par les gardes.

« Halte là ! Maître nain, aucunes armes n’est autorisées dans l’enceinte du palais, veuillez nous les remettre !

-Bien bien, les voici…

-Bien le merci, la gardienne vous attend dans la salle du trône. »

Après de longs instants, qui me parurent interminable, passé à errer dans le dédale de marbre et de verdure de l’extérieur du palais, je trouvai enfin la porte de la salle du trône.

« Messire OlaF, vous avez mit moins de temps que votre père pour trouver la salle du trône, je m’en suis réjouie

-Gardienne Thaèos, je ne savais pas que vous connaissiez mon père, Guatar.

-Il m’avait dit que un jour peut-être son fils viendrai lui aussi combattre sur les terres des Hommes.

-Je ne comprend pas tout, peut-être pourriez-vous éclairer ma lanterne ?

-Bien entendu : C’était il y a fort longtemps, alors que la guerre déchirai tout les territoires de notre continent. En plein cœur d’une bataille sanglante aux portes de la cité, un nain vint se présenter à la porte du palais, sollicitant une audience. Il fut autorisé à entrer et mit près d’un demi cycle à entrer dans la salle du trône. Il m’annonça tout d’abord son nom : « je me nomme Guatar Legtyr, fils de Saurus. » Puis il m’expliqua qu’il était près à se joindre à notre cause si on lui offrait en contre partie, le gîte et le couvert. Nous manquions cruellement de gardes et de soldats […] »
Je la contemplais alors qu’elle me narrait sa rencontre avec mon père.

[to be continued…]
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